Accéder au contenu principal

The power

Je ne vous ai pas posté d'article sur le blog depuis quasiment un mois j'en suis désolée... 
Je ne vous ai pas oubliés, c'est juste que je n'avais pas lu de livre depuis " Voyage au centre de la terre"! Et oui c'est possible... En septembre je n'ai lu qu'un seul livre... Et encore pas complètement. J'avais pas mal de choses à gérer entre la préparation de mon voyage à New-York, mon séjour sur place, où je n'ai absolument pas lu, bien que j'ai apporté ce roman avec moi, le retour, le travail... 
Du coup ma vidéo de mes livres lus risque d'être drôle. Il faut dire que ce livre était en anglais, je l'ai pris avec moi aux Etats-Unis pour rester dans l'ambiance de la langue, mais l'histoire ne m'a pas transcendée et je devais pas mal me concentrer pour le lire. Résultat le 30 septembre j'étais encore dessus avec près de 80 pages restantes. Je voulais vraiment le terminer, mais je me forçais et ce n'est pas le but. J'ai finalement laissé tomber sans trop de regrets. 

Le pitch du livre m'intéressait beaucoup puisqu'il s'agit d'un roman féministe dans lequel les femmes prennent le pouvoir sur les hommes. D'où le titre. Elles développent une sorte de pouvoir, et les hommes deviennent le genre inférieur. Je trouvais ça assez drôle, tout en sachant pertinemment que ça n'arrivera pas dans le vrai monde. 
L'idée aurait pu être intéressante et drôle, si ces femmes n'étaient pas aussi dures et méprisantes envers les hommes. De plus je n'ai pas compris toutes les situations. 
Bref pour moi le féminisme c'est l'égalité homme-femme et pas une prédominance d'un sexe sur l'autre. Cela a donné des situations un peu loufoques et grotesques. 
En gros le livre parle de femmes qui dès le début du roman développent une sorte de pouvoir pour avilir les hommes. Elles se retrouvent supérieures, restent en communauté car sont vues comme dangereuses, et les hommes doivent avoir une femme référente pour faire tout type de choses. On suit un homme tout au long du livre, du nom de Tunde, journaliste qui suit la prise de pouvoir de ces femmes, les filmant et étant l'un des rares hommes à pouvoir continuer d'exercer. 
Une jeune femme du nom de Allie se fait appeler "Our Mother" sorte de déesse auto-proclamée. Elle devient une déesse pour tout le monde et une bande de filles vivant ensemble lui obéit. 
Une femme du nom de Margot, maire doit protéger ces jeunes filles qui se voient développer ces pouvoirs sans pouvoir les maîtriser, et prendre des mesures pour la sécurité des citoyens. 
On suit Roxy une jeune fille dont la mère est assassinée au début du roman, elle apprendra plus tard que son père en est responsable.
On suit plusieurs femmes qui ont chacune leurs pouvoirs et leurs vies à gérer, mais honnêtement certaines situations étaient intéressantes, mais j'ai été rapidement blasée. 

Avis: Une bonne idée de roman mise en pratique de façon assez radicale avec un mélange entre dystopie ( réalité dans laquelle les femmes prédominent les hommes), et fantastique avec cette histoire de pouvoirs. Les idées sont assez extrêmes quant à l'avilissement des hommes, et des femmes surpuissantes qui se prennent pour des déesses. 



"The power" de Naomi Alderman, 9.50€

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La soeur disparue

 Quel plaisir de partager avec vous l'avant dernier tome de la saga des "Sept soeurs" de Lucinda Riley! Je dis l'avant dernier car normalement un huitième est prévu concernant l'histoire de Pa Salt, aka Atlas, le père des sœurs. J'espère juste que l'auteur a eu le temps de l'écrire avant de s'éteindre l'année dernière... Chose que j'ai d'ailleurs apprise en commençant le roman, ça m'a vraiment rendue triste.  Si vous n'avez jamais entendu parler de la saga des Sept soeurs de l'auteur irlandaise Lucinda Riley, je vous invite à lire mes articles précédents sur les six précédents romans, car il s'agit d'une saga, ils se suivent donc. Le pitch rapidement, un vieil homme de plus de quatre-vingts-ans a adopté six filles, issues de ses voyages qu'il élève à Genève en Suisse dans une magnifique maison. Les six sœurs sont élevées également par Marina, appelée Ma, leur gouvernante/nounou française qui les considère comme

10 romans qui se déroulent à New-York

J'ai eu l'idée de vous parler de romans que j'ai beaucoup aimés, se déroulant dans ma ville de coeur. J'ai réfléchi, certains titres me sont venus rapidement, j'ai dû fouiller dans ma bibliothèque pour en dénicher d'autres, et taper le mot-clé "New-York" sur mon blog afin de trouver les autres. Elle sert bien cette barre de recherche en haut à droite du blog. N'hésitez pas à vous en servir. Chaque article est libellé et vous pouvez tout retrouver facilement. Du coup, j'en ai fait une vidéo , puis je me suis dit que je pouvais en faire une sorte d'article. Je ne vais pas écrire des tartines, mais j'avais envie de vous présenter un peu à l'écrit ces 10 romans que j'ai beaucoup aimés dont l'histoire se passe dans la Grosse Pomme.  Je les ai réunis par thèmes principaux, en ayant trouvés quatre. J'ai fait quasiment un article pour chaque livre dont je vous parle. A chaque fois je mettrai un lien vers l'article en

Le grand magasin des rêves

 En même temps que "La vie heureuse" de Foenkinos, j'avais emprunté au magasin "Le grand magasin des rêves" de Lee Mi Ye, très récemment traduit. Roman coréen, premier roman de l'autrice qui dédie son temps désormais à l'écriture, travaillant auparavant pour Samsung. J'ai été fortement attirée par la jolie couverture, et le fait qu'il s'agisse d'un roman coréen publié aux éditions Picquier. C'est drôle car j'en ai parlé à une amie coréenne qui l'a elle aussi lu, en coréen, et adoré. Je savais à peine de quoi il parlait avant de l'emprunter, mais je savais que j'avais très envie de le lire.  Ce n'est pas le genre de roman que je lis habituellement, ayant une bonne part de fantastique à l'intérieur, mais pourtant classé en roman étranger dans notre librairie. On suit donc Penny, une jeune femme étant embauchée au sein du grand magasin des rêves, sorte de Galeries Lafayette ou Printemps sur plusieurs étages dont l